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BANA CONGO
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15 mai 2009

17 mai Journée du GENOCIDE CONGOLAIS

BANA-CONGO                         

Mouvement de Pression pour la Libération du Congo (R.D.C.)

Forme juridique : Association Sans But Lucratif (ASBL)

N° d'entreprise: 866 352431

Adresse: Galerie d'Ixelles 52

               1050 Bruxelles (Ixelles)

Blog : banacongo.afrikblog.com

17 mai Journée du GENOCIDE  CONGOLAIS

In Memoriam – Afin que plus aucun Congolais n’oublie.

Depuis la maléfique date du 17 mai 1997, le peuple congolais se retrouve chaque année au cœur de guerres amenées de l’extérieur par des forces d’agression qui ne se gênent pas de se proclamer « forces de libération » avec la complicité criminelle de quelques médias et hommes de presse se réclamant « spécialistes du Congo » pour les besoins de la cause.

Des querelles intestines de partage de pouvoir entre alliés de l’AFDL, on est vite tombé depuis 1998 dans des aventures répétées de fausses rébellions puis de guerres directes entre des armées régulières étrangères, en l’occurrence l’armée rwandaise et l’armée ougandaise qui se sont affrontées, plus d’une fois, à coups d’obus en plein centres urbains dans la Province Orientale.

Là où les prétendues « forces de libération » règnent, la démocratie disparaît, le respect élémentaire de la personne humaine disparaît, les atrocités les plus inimaginables sont commises comme pour vérifier in vivo les expérimentations les plus abjectes sur des corps humains et renforcer la terreur vis-à-vis des populations civiles.

Fort des exploits macabres ci-dessus évoqués, le pouvoir criminel installé à Kinshasa sous des dehors ridicules de « démocratie » se consolide par la terreur que lui permettent les moyens de l’Etat et par le mépris des Droits de l’Homme. Lui non plus n’a pas hésité à perpétuer le règne du crime et de la terreur. A plusieurs reprises, de 2006 à ce jour, il a fait usage d’armes lourdes en pleins centres urbains, à Kinshasa et au Bas-Congo, soit pour réprimer des populations civiles traitées de « terroristes » ou d’ « ennemis de la démocratie », soit pour évincer des concurrents politiques en dehors de toutes voies démocratiques.

Au bout du compte, en douze ans de pouvoir « afdélien » (A.F.D.L), « péperdien » (PPRD) et « aém-pien » (A.M.P), le peuple congolais se retrouve amputé de plus de 6 millions d’âmes, victimes directes ou collatérales du pouvoir sanguinaire installé depuis la sinistre date du 17 mai 1997. Ce tarif est plus fort que celui payé par l’Europe lors de la guerre de 1914-1918 ou de la guerre de 1940-1945 ; par l’ex-Yougoslavie lors de la Guerre des Balkans ; par le Rwanda lors du « génocide » de 1994. Ce tarif est de loin plus fort encore vis-à-vis des victimes des rebellions et sécessions des 5 premières années de l’indépendance du Congo ou des victimes des attaques des mercenaires étrangers ou des répressions discrètes connues au cours des 32 ans suivants. Même cumulées sur les 37 ans précédents, les victimes que le Congo pleure déjà en millions rien que sur les 12 ans des Kabila ont atteint des chiffres insupportables.

Les médias et les instances qui se sont émus pour le cas du voisin oriental du Congo jouent des pieds et de la tête pour minimiser au mieux le génocide infligé au peuple congolais depuis le 17 mai 1997. Cela d’autant plus facilement que le pouvoir caméléon introduit à Kinshasa y trouve son compte. Ses tergiversations récentes dans l’ « Affaire Nkundabatware » en sont des indices frappants. Les primes aux fauteuils ministériels, des amnisties amnésiques généralisées accordées aux soi-disant « forces rebelles » et la transformation de celles-ci en « partis politiques » ou en « unités » de l’armée régulière sont d’autres indices de la complicité consciente du pouvoir génocidaire de Kinshasa.

Si hier des opérations ridiculement « mixtes » devraient servir à rassurer le voisin rwandais, aujourd’hui il n’est pas acceptable que le même voisin serve de protecteur au sinistre Nkundabatware dès lors que ce personnage a de lourdes parts de responsabilité dans le « génocide congolais », notamment dans ses aventures guerrières depuis 2000 à Kisangani puis dans le Sud et Nord Kivu, surtout ces trois dernières années.

Il n’est pas question de passer au titre de pertes et profits pour le compte d’un pouvoir sanguinaire les 6 millions de morts congolais enregistrés depuis 1997. La majorité de ces victimes se compte parmi les populations dites « de l’Est » du Congo, réclamées pourtant comme vivier électoral naturel dudit pouvoir. Il est donc difficile de s’expliquer ce mépris affiché vis-à-vis de nos morts de l’Est : pas de sépultures, pas de stèles ni de monuments commémoratifs, pas une seule journée dédiée à leur pensée.

Dans tous les pays du monde, il est de coutume de consacrer un jour de l’année en hommage aux citoyens morts pour le pays. Par devoir de mémoire, cette journée de souvenir sert à la fois de manifestation solidaire de compassion de la communauté nationale et de transfert de témoin à la postérité.

Trop d’indices probants incitent à dire que ce manque d’investissement affectif des officiels de Kinshasa à l’endroit d’un peuple en deuil injustifié permanent témoigne d’une "désolidarisation" liée aux origines plus que douteuses du pouvoir caméléon et à sa participation active aux crimes monstrueux ayant coûté la vie à ces millions de Congolais.

BANA CONGO exhorte chacune des Congolaises et chacun des Congolais d’avoir, même sans stèle, sans monuments commémoratifs ni accompagnements médiatiques, une pensée pieuse à la mémoire de tous nos paisibles compatriotes, injustement livrés à la mort depuis l’intrusion des agents de la mort à la direction du Congo, le 17 mai 1997.

La date du 17 mai doit désormais être considérée comme date symbole du pire des malheurs qu’aucune fille, aucun fils digne du Congo de nos ancêtres ne doit jamais fêter. Elle doit être une date de méditation profonde sur les causes réelles de l’hécatombe injuste causée par des mains armées étrangères et de l’abandon des veuves, des orphelins et autres traumatisés des violences diverses de guerres et de répressions criminelles.

La tendance à la résignation doit être surmontée. BANA CONGO invite le peuple Congolais à se ressaisir et à reprendre courage.

Ce 17 mai 2009 : que chacun reste chez soi, dans la méditation à la pensée de nos 6 millions de morts.

"La mémoire n’est rien si elle n’est pas une prise de conscience. Il faut rejeter la tentation de l’oubli", dixit Michèle ALLIOT-MARIE, Ministre française de l’Intérieur, lors de la Journée Commémorative de l’Esclavage, Bordeaux, le 10 mai 2009.

                           Pour BANA CONGO, Mouvement de Pression pour la Libération du Congo,

                  Aubin KIKONKA  KILU KANDA

                                                                       Président

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J
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L
Un périple en kayak « au coeur des ténèbres »<br /> Article publié le 22/05/2009 Dernière mise à jour le 22/05/2009 à 17:13 TU<br /> <br /> Marc Hoogsteyns, journaliste indépendant, ancien cameraman de l’agence Reuters, témoigne de son périple en kayak « au coeur des ténèbres » et tente de rendre la parole des milliers de personnes, coupées du monde, qui peinent à survivre au centre du pays et dont les souffrances n’ont jusqu’ici pas été remarquées par la communauté internationale.<br /> <br /> <br /> Marc Hoogsteyns, cameraman de l’agence Reuters, lors de son périple en kayak allant du Kasaï oriental à Kinshasa. <br /> (Photo : http://www.bobongo.be)<br /> <br /> <br /> <br /> RFI : Marc Hoogsteyns, pour quelles raisons avez-vous décidé de descendre cette rivière en démarrant du Kasaï oriental pour rejoindre Kinshasa ? <br /> <br /> <br /> Marc Hoogsteyns : L’année passée, j’ai reçu une petite bourse pour faire une étude journalistique sur la déforestation et les changements climatiques au Congo et dans la région des grands lacs. C’est là que j’ai commencé à voyager dans les régions au Congo, surtout la région du lac Tumba dans la province équatoriale, la province de Bandundu. Je me suis rendu compte à cette occasion qu’au Congo, il y a des milliers et des milliers de gens qui vivent là, dont personne ne parle, en absence des organisations humanitaires. <br /> <br /> RFI : Justement, dans quelles conditions vivent ces populations ? Est-ce que vous pouvez nous décrire les endroits où vous passez et où on imagine que peu de monde passe ?<br /> <br /> MH : La population n’est pas en train de vivre, la population est en train de survivre parce que depuis quelques années, toute activité économique s’est arrêtée. La population est livrée à elle-même sur le plan médical aussi bien que sur le plan social. Parfois, les gens doivent marcher trois ou quatre cents kilomètres pour arriver dans un dispensaire ou un hôpital. Pour beaucoup de petites maladies comme par exemple la variole du singe ou la malaria, ou même une fracture ouverte d’une jambe, il n‘y a pas de solution. Les gens meurent quand ils ont ça. A l’intérieur du pays, il n’y a plus de lois. Je vous donne un exemple : dans une ville comme Dekesse, un homme qui viole une femme, il ne sera jamais puni pour la simple raison qu’il n’y a pas de juge, il n’y a plus de police, il n’y a plus de prison, il n’y a plus rien. Donc les gens peuvent faire ce qu’ils veulent.<br /> <br /> Pour survivre, il y a beaucoup de braconnage parce que les gens doivent se munir de protéines pour survivre. Avec les quelques armes de guerre qui circulent dans la région, ils vont tuer les éléphants, les buffles, les singes, et ils survivent comme ça. Et là-dessus, il n’y a pas de contrôle non plus. Le problème du braconnage, c’est un très grand problème. Les forêts, on peut dire qu’elles sont relativement intactes dans la plupart du bassin du fleuve du Congo et les autres rivières à côté. Mais la forêt est en train de se vider de tous les animaux qui vivent dedans et ça aussi, c’est grave.<br /> <br /> RFI : Comment ça se passe quand vous arrivez ? Vous pagayez toute la journée et ensuite vous essayez de repérer un village sur la rive pour vous arrêtez ?<br /> <br /> MH : J’ai pagayé 1 300 kilomètres, 50 à 60 kilomètres par jour, c’est-à-dire 8 à 10 heures par jour. J’essaye de trouver ou bien un bivouac de pêcheurs où l’on peut dormir, ou bien on accoste dans un petit village. Les gens sont très hospitaliers, ils sont très ouverts, ils sont très gentils mais la population est très surprise de me voir arriver parce que, dans ces villages là, ils n’ont plus vu de Blancs depuis 20 ou 30 ans. Ca m’est arrivé que tout le village a fui parce qu’ils étaient tellement surpris de voir un Blanc qu’ils croyaient que j’étais un fantôme. <br /> <br /> RFI : Et alors de quoi vivent les gens en règle générale ? Quelles sont leurs activités ?<br /> <br /> MH : Il y a la pêche et le braconnage et les quelques fruits qu’ils trouvent en forêt. Ils cultivent aussi un tout petit peu de manioc et un tout petit peu de maïs juste pour leur propre usage. <br /> <br /> RFI : Dans tous ces villages, les enfants par exemple ne vont pas à l’école. Il n’y a pas d’administration, il n’y a rien du tout ?<br /> <br /> MH : Il n’y a rien du tout, il n’y a pas d’administration. Les écoles fonctionnent à peine. Il y a des jeunes qui essaient d’encadrer un tout petit peu les enfants mais ils n’ont pas été formés pour faire cela. Donc là aussi, il y a une autre catastrophe qui se prépare c’est-à-dire qu’il y aura toute une génération de Congolais qui ne sera pas en mesure dans quelques années de reprendre les choses en main dans les petits villages, à deux cents kilomètres de toutes ces grandes villes, là où la population vit vraiment isolée. La plupart d’entre eux n’ont même pas voté. Ils ne savent ce que c’est que les élections. Encore une fois, ce sont des gens qui sont vraiment engagés dans la lutte de survie de tous les jours.<br /> <br /> RFI : Vous avez l’impression de faire un saut un siècle, voire deux, en arrière ?<br /> <br /> MH : Oui, si vous avez lu le livre de Joseph Conrad « Au cœur des ténèbres », maintenant ce livre est en train de se réécrire au 21e siècle au Congo. Il y a des milliers de gens qui n’ont pas de moyens de communiquer avec le monde extérieur. Ils ne savent vraiment pas ce qui se passe dans le reste du pays. Il n’y a pas de téléphone, pas de courant, il n’y a pas de route (toutes les routes sont recouvertes par la brousse). Et le seul moyen pour communiquer avec le monde extérieur, c’est la rivière. Mais par la rivière, ça leur prend des journées entières pour atterrir dans la prochaine ville.<br /> <br /> RFI : Que vous disent les villageois quand vous les rencontrez ? Est-ce qu’ils se sentent abandonnés? <br /> <br /> MH : Ils se sentent complètement abandonnés par leurs propres dirigeants pour commencer et ils se sentent abandonnés par la communauté internationale qui ne parle jamais d’eux et qui ne veut même pas entendre parler de leurs problèmes. Ils nous ont demandé presque dans chaque village où l’on est passé, de faire passer ce message au monde extérieur et de raconter aux autres ce que l’on a vu ici pour essayer de trouver de l’aide. Il y a des milliers de gens qui vivent à l‘intérieur du Congo et ils sont oubliés par tout le monde. C’est vraiment grave de voir par exemple mourir des enfants dans les villages, des enfants qui sont déshydratés, des enfants qui ont la variole, des enfants qui ont la malaria et ces gens n’ont même pas de l’aspirine, ou des médicaments pour traiter ces maladies-là. Il y a une mortalité énorme des nourrissons, il y a beaucoup de bébés qui meurent avant l’âge d’un an. Et encore une fois, il n’y a personne qui en parle.<br /> <br /> Propos recueillis par Gislaine Dupont
L
Yo usurpateur oyo soki Joseph Manda, bolata bakombo congolais mais si toyebi bino, basi ba bimisi bino na écran na camerounais Charles Onana,na mundele oyo Piere Péans. Lokuta na bino eyebani mokili mobimba. 5 chantiers na bino boko kosa batu, bo kosala yango na rwanda. Bo buki ba huttes na bino, botongi rwanda neti POTO na bango ya Congo. Soki ozala vrai congolais mbele osi o se révolter ndenge nini congo etondi richesse nionso ezongi 2 siècle en arrière tandis que rwanda ezangi richesse ekei liboso batongi kitoko lokola POTO? Ata rwanda ayibi Kuna na est du pays mais bas congo , bandundu, les 2 kasaï,Katanga, Mbandaka ba provinces wana nionso richesse etondi mpo nanini ba koki kotonga MBOKA te? Lokuta na bino , toyambi bino malamu, bino bo bomi bana ekolo Congo. Bokozonga na Rwanda place ba yambaki bino na ba HUTU depuis des siècles bo bunda kaka bino na bino.Ethnie Tutsi azalaka na Congo te. Boko nzonga rwanda na ba pneu pineeeeeeeeee na kingo
J
Tres chers freres et soeurs congolais ,vous qui avez vos projets de detruire la democratie en RDC ,nous vous prions de cesser de manupuler vos freres et soeurs clendestins congolais qui sont devenus des combattant (Bana Congo)contre nos freres et soeurs artistes .Au lieu de les aider a trouver des papiers de sejours ici en Europe mais vous les transformez en terroristes!Ayez vraiment pitie´ d eux car ils ont aussi leurs vies.Aidez les trouver des emplois enfin qu ils puissent aussi faire un jestes aux cinq chantiers de son excellence rais Joseph Kabila!Mon adresse email est :worldassistance@ymail.com.Que vive la democratie et que vive la liberte´.
J
Toutes les personnes qui prennent les armes ou qui brutalisent le peuple Congolais pour se faire une place au sein du gouvernement de la RDC ont peur de la democratie c est a dire qu ils ne sont pas capables de convaincre le peuple qui attend d eux les changements.Priere de changer pour le bien etre de notre pays .L anne´e 2011 n est pas loin ;decendez deja pour vous faire connaitre au peuple par vos projets de developpements mais pas pour experimenter vos armes modernes.Priere de me contacter a cette adresse electronique : Worldassistance@ymail.com. Que vive la democratie et que vive le peuple congolais.
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